Le philosophe français a réuni, lundi à Paris, plusieurs membres de l’opposition syrienne à l’étranger.
Le PS est mort. Pourtant, selon BHL, la gauche de demain, la gauche moderne et réinventée, est encore invisible – mais elle est là.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Bernard-Henri Lévy publie chez Grasset « Pièces d’identité » et « De la guerre en philosophie ». De ces deux travaux très différents se dégage le portrait d’un homme affairé, presque dispersé, mais apte à ramasser soudain sa pensée, autour d’une lutte majeure ou d’un concept neuf.
Le philosophe médiatique publie son journal des événements en Libye, dont il a été témoin et acteur, de l’Élysée à Benghazi. D’où vient le besoin d’être aux premières loges de l’histoire, sur la ligne de front ? Marc Lambron tente de cerner Bernard-Henri Lévy, franc-tireur dont l’engagement impétueux fait cause commune avec l’ambition littéraire.
Tous contre Rocard. Attention au « syncrétisme » ! La rage de Mitterrand. Comme un bœuf sur la langue. Rocard, Président ?
Gorazde comme Sarajevo. Pourquoi Rocard devrait lire Colombani. Nicolas Sarkozy et l’amour de la politique. Faulkner et le cinéma. Jean-Marie Rouart et le jardinier de Ghislaine Marchal.
L’arme de la séquestration (d’un cadre supérieur, d’un prof, d’un patron) n’est pas « la dernière arme » dont disposent les offensés pour se faire entendre.
Voyage de Sarkozy : Haïti méritait mieux. Le retour, en politique, du discours animalier. Le bon dos du « parler cru » à gauche contre la noblesse des mots.
L’affaire Frêche est l’un de ces marqueurs où il arrive que se joue l’essentiel – et où, en la circonstance, la politique retrouve son honneur ou le perd.
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